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Le Vice-Consul
Texte de la page 54 à 57
Structure du texte :
Les personnages ont des contours flou (la dame, la jeune fille). La femme blanche est le symbole de la maternité (grosse, lourde) et a avec elle un enfant. Insistance sur la blancheur pour mettre en avant la richesse.
Cette dame a un casque colonial. Richesse évaluée par rapport à la mendiante parce que celle qui voit la scène est la mendiante. La mendiante représente la maternité car elle veut donner son enfant pour que son enfant soit élever dans de meilleures conditions qu’elle.
Elle fait un acte d’amour en donnant une mère à son enfant. L’enjeu pour la mendiante est important, c’est d’abolir, à travers cette femme, l’acte de sa mère et d’acquérir une certaine légitimité.
Au moment où elle voit la femme blanche, tout lui revient (ruse, intelligence, habilité).
Le premier sourire de la mendiante montre qu’elle a compris quelque chose. C’est parce qu’elle a été regardé qu’elle sourit.
Différence entre accomplit (temps composé : elle a regardé) et inaccomplie (temps simple : elle regarde).
Ce sourire est attribué d’un point de vue, du détachement de la misère où il ne reste qu’une seule chose : le sourire.
La jeune fille a comprit la détresse de la mendiante.
1.Progression du texte : de la plus grande tension au relâchement.
2.Compréhension qui grandit : jeu de regard et compréhension entre les deux femmes
3.Une scène à l’unisson : une scène de danse.
1.Deux mondes distincts : portail, blancheur/ mendiante, (sourire : détachement/misère).
2.La dame blanche : maternité
3.Maternité : affaire de femme.
By Xababaaâ le 30/05/08